Naturopathe Saint-Nazaire

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Les maîtres › HIPPOCRATE

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samedi, décembre 1 2018

Citations d'Hippocrate

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« Respectueux et reconnaissant envers mes Maîtres, je rendrai à leurs enfants l'instruction que j'ai reçue de leurs pères. »

« Il est plus important de savoir quelle sorte de personne a une maladie que de savoir de quel genre de maladie souffre une personne. » « Il est plus important de connaître le malade que la maladie dont il souffre. »

« Si nous pouvions donner chacun la bonne quantité de nourriture et d’exercice, pas trop peu et pas trop cher, nous aurions trouvé le moyen le plus sûr pour la santé. »

« Ne rien faire est aussi un bon remède. »

« Que ton aliment soit ta seule médecine ! » « Laisse ta nourriture être ton remède, et ton remède ta nourriture. »

« Avant toute chose ne pas nuire. »

« Si quelqu'un désire la santé, il faut d'abord lui demander s'il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. Alors seulement il est possible de l'avoir. »

« Lorsqu'on tombe malade il faut changer sa manière de vivre car il n'y a pas de guérison sans un effort mental et spirituel »

« Le vin est une chose merveilleusement appropriée à l'homme si, en santé comme en maladie, on l'administre avec à propos et juste mesure suivant la constitution individuelle. »

« Si tu es malade, recherche d'abord ce que tu as fait pour le devenir. »

« Selon toute vraisemblance, la source des maladies ne doit pas être ailleurs que dans les vents ou les pets selon qu'ils sont en excès ou en défaut, ou bien qu'ils entrent dans le corps trop nombreux ou souillés de miasmes morbifiques. »

"Le parfum est un remède pour soigner la mauvaise humeur."

« La force qui est en chacun de nous est notre plus grand médecin. »

« L’homme doit harmoniser l’esprit et le corps. »

« Chez les athlètes, un état de santé porté à l'extrême est dangereux ; car il ne peut demeurer à ce point, et, puisqu'il ne peut ni demeurer stationnaire, ni arriver à une amélioration, il ne lui reste plus qu'à se détériorer. »

« C'est la nature qui guérit les malades. »

« Les choses saintes sont révélées à ceux qui sont saints. »

« La science conduit au savoir ; l'opinion conduit à l'ignorance. »

« L'inexpérience est la mère de la timidité et de la témérité. »

« Notre nature, c'est le champ ; le précepte du maître, c'est la semence. »

« Parmi les médecins, beaucoup le sont par le titre, bien peu par le fait. »

« Le hoquet disparaît quand les éternuements surviennent. »

« Les jeux des enfants ne sont pas des jeux et il les faut juger comme leurs plus sérieuses actions. »

« La marche est le meilleur remède pour l'homme. »

« Le hasard, quand on vient à l'examiner, est reconnu ne pas exister ; tout n'est qu'enchaînement de causes et de conséquences. »

« La crise de guérison, c’est une période de régression, ce qui veut dire, en réalité, un processus de retour à la santé, vers la condition originelle de l’être. »

« Tels sont les yeux, tel est le corps. »

« Chaque fois qu’un médecin ne peut pas faire du bien, il doit s'abstenir de nuire. »

« Prenez l’habitude de deux choses : d'aider ou tout du moins de ne pas nuire. »

« La guérison est une question de temps, mais c’est parfois aussi une question d’opportunité. »

« Tout ce qui est en excès est contre la nature. »

« Partout où l’art de la médecine est aimé, il y a aussi un amour de l’humanité. »

« Guéris parfois, traite souvent, réconforte toujours. »

« Gardez un regards aussi sur les défauts des patients, qui les font souvent mentir au sujet de la prise des choses prescrites. »

« Un homme sage devrait considérer que la santé est la plus grande des bénédictions humaines, et apprendre par sa propre pensée à tirer profit de ses maladies. »

Serment d'Hippocrate

L'Invocation J'invoque Apollon guérisseur ainsi que son fils Asclépios et ses petites-filles Hygiène et Panacée, je prends à témoin tous les mortels et tous les immortels, je jure, selon ce serment que je prononce et sur le présent engagement écrit que je lis :

L'Exposition des devoirs I. En formalisant le résultat de mes recherches et expériences, de rédiger des aphorismes ou protocoles validés, autant que le pourront ma force physique et ma capacité de réflexion ; de considérer celui qui m'a enseigné l'Art médical comme mon père , d'être ainsi uni à lui comme par un lien de parenté toute ma vie et de partager ses dettes s'il me sollicite ; de reconnaître sans hésitation ses enfants comme mes propres frères, de leur enseigner gracieusement l'Art médical, s'ils veulent l'étudier, sans contrepartie aucune. II. De partager le savoir des aphorismes banals et, au aussi bien, des protocoles innovants validés et même aussi celui relatif à l'application pratique aux cas particuliers5 avec mes enfants et avec ceux de mon Maître et avec les Assistants, les Résidents et les Internes qui se seront aussi liés par ce même engagement que moi et auront prononcé le présent Serment en trois parties (l'Invocation, l'Exposition des devoirs, l'Imprécation) leur faisant jurer de soigner toujours ; mais, par contre, de ne communiquer ce savoir à aucun autre. III. Je prescrirai les régimes minceur ou fortifiant adaptés au soulagement des patients autant que le pourront ma force physique et ma capacité de réflexion ; j'écarterai d'eux tout ce qui pourrait leur nuire et les mauvais traitements ; je n'administrerai un médicament mortel à aucun prix et même si cela m'était ordonné, ni je ne prescrirai rien de tel en consultation ; dans le même ordre d'idée, je ne mettrai pas aux femmes de pessaire abortif. IV. Je mènerai une vie irréprochable et respectueuse des lois humaines, (j'améliorerai si possible, et en tous cas,) je respecterai à la lettre l'art qui est le mien. V. Je ne me mêlerai surtout pas des maladies relevant de spécialistes (par exemple, je n'opérerai pas les graveleux) mais j'orienterai vers les professionnels de ces spécialités.7 VI. Sixièmement je n'entrerai dans les maisons où je serai missionné qu'en vue du soulagement des patients, m'abstenant de toute indélicatesse volontaire8, de toute corruption et de toutes autres actions contraires aux bonnes mœurs comme notamment des attouchements avec les femmes ou les hommes, qu'ils soient libres ou bien déjà engagés. VII. Ce que, pendant un traitement, je verrai ou entendrai ou même hors traitement au sujet de la vie privée de tous, ce qui ne doit ni un jour ni jamais être divulgué9, je le tairai, le regardant comme une information tabou.

L'Imprécation Si donc, je respecte mon Serment en rédigeant des protocoles ou aphorismes validés et si je n'ai jamais à rougir de mes actions, puissé-je avoir connu une vie enrichissante et tiré profit de mon art et avoir ainsi mérité de l'Humanité une gloire immortelle. Mais si, au contraire, je quitte la Voie royale tracée par mon serment ou, autrement dit, si je me parjure, que tout le contraire de ces bonheurs et de ces honneurs m'arrivent !